Quand on demande à Cyril Steffan de se présenter, il n’énumère pas ses diplômes ou ses fonctions. Il parle de qui il est : un voyageur dans l’âme et de l’âme, qui cultive l’humour comme d’autres cultivent leur jardin. Pour lui, l’être prime sur le faire. Fraîchement certifié équicoach aux Carnets d’Éveil en août 2025, Cyril n’est pourtant pas un novice dans l’accompagnement humain. Coach depuis plus de 20 ans, il collabore depuis des années avec Les Carnets d’Éveil pour les teambuildings et les formations en intelligence émotionnelle et relationnelle.

Rencontre avec un homme qui a fait de sa quête personnelle de développement une expertise au service des autres.

Sommaire :
Un homme façonné par l’ouverture au monde
De la conduite du changement à l’accompagnement humain
Une première expérience d’équicoaching bouleversante
20 ans d’amitié et de collaboration avec Les Carnets d’Éveil
Vivre avant d’apprendre : la spécificité des Carnets d’Éveil

Un homme façonné par l’ouverture au monde

C.S. : « Depuis tout petit, j’ai été globe-trotter, bringuebalé à droite à gauche en vacances, en Europe, en Afrique. Puis, comme jeune étudiant, j’ai vécu un an aux États-Unis pour passer le bac et six mois à Barcelone pour mes études.

Une vie très internationale aussi avec un job au sein de multinationales. J’ai bossé avec la Chine, du côté de Shanghai, et beaucoup en Europe.

Donc une tonalité liée au voyage et aux expériences multiculturelles. Depuis tout petit, j’ai cette aptitude à être connecté à la différence et à qui nous sommes collectivement.

Être bien en groupe, sa nature profonde

Socialement, je suis un animal de compagnie, un grégaire comme les chevaux. En groupe, je suis heureux. J’aime me mettre au service du collectif.

Je vois bien que c’est aussi une forme de remplissage : depuis que j’ai une vingtaine d’années, j’ai toujours été en couple, parce que j’ai des difficultés à être seul. Dans ma famille comme dans plein de familles, il y a des vécus plus ou moins traumatiques, des colères rentrées. Je suis assez distant, je fuis le conflit (je suis un bon 3 en ennéagramme).

Il faut vraiment me pousser à bout pour que je pète un plomb. Mais quand je pète un plomb, je pars vers du 9 (en Ennéagramme), l’ours dans sa caverne. Mieux vaut éviter d’aller « réveiller » un ours en hibernation…

Quand je forme à l’intelligence émotionnelle et relationnelle, je travaille sur moi. J’ai progressé et j’ai encore beaucoup de chemin à parcourir, mais je sais ce qui se produit, j’entends le message : quels sont mes besoins pour calmer le tsunami émotionnel, la colère en l’occurrence ?

L’humour comme protection et connexion

Je pense que j’ai quand même été marqué par des bonnes fées à la naissance sur l’humour.

Depuis tout petit, grâce à mon père surtout, j’écoutais des comiques dans la voiture ou à la télé. J’étais baigné dans la génération Devos, Coluche, Desproges. Il y a une aptitude de jeux de mots qui m’est venue depuis très jeune. Et ça ne m’a jamais quitté. Ça fait partie de ma nature et ça met une bonne ambiance.

De l’humour à plusieurs niveaux : l’humour facile, à la Coluche, qui me parle au niveau du cœur. Et une forme d’humour avec de l’esprit : faire de l’esprit, mais aussi se connecter à l’esprit, une partie plus supérieure de qui je suis en façade.

J’étais beaucoup dans la protection. Depuis que je fais un travail profond sur moi – il me reste encore beaucoup de chemin… –, j’ai compris que c’était de la protection, et je l’utilise moins.

De la blessure de rejet à l’acceptation de soi

Pour moi, la priorité, c’est le développement personnel. Depuis longtemps et jusqu’à il y a 10 ans, j’avais une quête existentielle : qui je suis, ma place sur terre, ma mission de vie… Beaucoup d’introspection… Maintenant, ce n’est plus un sujet. Je sais que je dois être plus à ma place.

Cette quête était nourrie par une blessure de rejet très présente chez moi.

Ma mère, avant que je naisse, avec l’accord de mon père, était partie pour avorter, parce qu’elle est tombée enceinte quand elle avait 18 ans. Ce n’était pas prévu au programme ! Elle a dû arrêter ses études grâce à moi, pour ne pas dire à cause.

Et donc, elle part se faire avorter. Et elle arrive devant le dispensaire, il y avait marqué « Congé aujourd’hui ». Elle s’est dit « C’est un signe, je le garde ». Voilà, ce qui fait que vous me voyez aujourd’hui. Sinon, je ne devais pas être là. In utero, il y avait quand même une bonne blessure de rejet qui s’est répétée à plusieurs reprises. C’est ma première blessure.

Quand je parle de développement personnel, c’est par l’expérience, ce qui rejoint beaucoup Les Carnets d’Éveil. Il y a une culture livresque, et aussi le format audiovisuel. Pour autant, j’ai vécu beaucoup d’initiations, de choses in situ, en vrai. Moi, je suis très connecté à l’olfactothérapie, chromothérapie, hypnose Ericksonienne, PNL… J’aime beaucoup la PNL en coaching.

Un de mes talents, c’est que je m’engage facilement et je bosse beaucoup. Mais ça, c’est la partie visible de l’iceberg. Au fond, ce qui m’importe, c’est cette partie développement personnel et qui je suis. Pas ce que je fais. »

De la conduite du changement à l’accompagnement humain

C.S. : « J’ai fait une école de commerce à l’international, à Fontainebleau, et ça m’a permis de voyager. J’ai trouvé un job à l’international, et très rapidement, j’ai été utilisé à bon escient sur la conduite du changement dans des gestions de projets, informatiques notamment.

Je me suis éclaté dès que j’ai commencé à 26-27 ans dans mon premier job : au bout de 6 mois, je formais des gens parce que j’étais à l’aise dans le système informatique de la boîte.

J’aime les gens comme ils sont, que la personne vienne vider ma poubelle tous les jours ou soit le patron, c’est le même bonjour et le même cœur à cœur. Et ça me caractérise cette conduite du changement, le côté formateur, enseignant.

Formateur, c’est vrai que c’est un écart de langage. Former, ce n’est pas bon de mettre les gens dans les cases. Après, on passe du temps à se faire déformer. Comme disait Coluche : “J’ai fait 5 ans de droit et tout le reste de travers.” Pour autant, j’ai des aptitudes d’enseignant et ça a marqué ma carrière.

La petite voix intérieure qui l’a guidé vers le coaching

J’ai eu pendant 16 ans une carrière dans 2 multinationales. En 2004, j’ai fait une école de coaching avec Hervé.

Je crois qu’on est le premier responsable de ce qu’on vit, l’unique responsable même. Dans mon parcours de vie, j’ai eu la chance de percevoir parfois des signes, une forme d’intuition. Et cette petite voix-là, j’ai à cœur de l’écouter de plus en plus parce que c’est elle qui détient la vérité, plutôt que d’écouter trop facilement encore mon mental égo.

Ma mère a été une des premières coachs en France. Elle était coach interne, et formatrice dans l’école de coaching que nous avons expérimenté avec Hervé. Elle ne m’a rien proposé, elle ne m’en a même pas parlé. C’est moi qui suis venu à elle. Cette petite voix m’a dit : “Tu vois le coaching, quand elle l’évoque, ou quand je ressens son fonctionnement, elle a l’air bien !” et je lui ai dit : “Mais c’est quoi ton coaching ?” Une fois que j’ai toqué à la porte, elle a ouvert la porte en grand et je suis rentré dans ce monde.

J’ai réouvert la boîte de Pandore, parce que, depuis tout petit j’avais plein d’infos, mais j’avais un peu mis un couvercle dessus. Et ça m’a réouvert des choses sur des lectures, des rencontres magnifiques.

Mon accompagnement multicasquettes

En juin 2012, ça a été un moment charnière. J’avais déjà une société depuis 2007 en parallèle de mon travail salarié. Mais je ne voulais plus être dans le monde salarié “pyramidal”. Depuis, je suis à mon compte. Enseignement dans une école d’ingénieur, teambuilding, formations en Intelligence Émotionnelle et Relationnelle, accompagnement…

Volontairement, j’utilise le terme d’accompagnement parce que je fais du coaching, mais un peu à la Cyril. Je peux faire des techniques de coaching pures. Pour autant, comme je me suis intéressé à tellement de choses (la PNL, le jeu du Tao, la numérologie par exemple ou des aspects thérapeutiques), je ne fais pas que du coaching. Selon le ressenti, je demande à la personne ce qui lui parle.

Je me souviens d’un accompagnement, il y a 3 ans, basé sur du coaching. Quand je lui parlais de personal branding (marketing de soi), elle m’a dit : “Oh, mais ça, ça me parle !”. Et elle a fait le chemin en marketing de soi, que je propose habituellement à mes étudiants.

Ce que je propose aux autres, je le fais d’abord pour moi, pour mon évolution personnelle. Comment accompagner quelqu’un pour gravir l’Everest si, moi-même, je n’y suis pas allé plein de fois et que c’est facile et fluide ?

Supervision de coaching et transmission de son expertise

Je fais de la supervision de coaching depuis quelques années déjà. La supervision de pratique ou de posture est nécessaire. En tant que coach, bien sûr je me fais superviser. Quand, professionnellement, nous avons une activité d’accompagnement, il y a un besoin d’être supervisé (c’est une question de déontologie, d’exigence du métier).

On ne parle pas des noms, mais de situations. En supervision ou y compris en partageant avec nos pairs, on peut identifier des ressorts psychologiques, des transferts, des contre-transferts, des projections, voire des raccourcis…

J’ai une acuité qui s’est développée depuis l’équicoaching sur ma partie supervision de la posture ou de la pratique de coaching. J’ai amélioré la lecture de mon écoute. Et puis superviser, ça m’apporte beaucoup pour moi-même, je pratique et je m’améliore. »

Une première expérience d’équicoaching bouleversante

C.S. : « En 2013, quand j’ai quitté mon dernier job, j’ai suivi la formation en Executive Coaching d’Hervé. Et il y avait une journée d’expérience d’équicoaching.

Ça a été une grosse claque, parce que le cheval, pour moi, c’était neutre. Je n’ai aucune appréhension. Mais là, tout mon système intérieur m’a fait : «le cheval va savoir qui je suis, il ne va pas m’aimer – ma blessure de rejet s’est rapidement manifesté et il va se sauver dès que je vais arriver dans le rond de longe…»

En fait, il est venu directement à moi parce qu’il a capté ce fameux gros cœur dont je parlais. Le cheval m’a perçu et capté, il est venu, et là j’avais les larmes aux yeux, c’était magnifique.

Les premiers exercices pour moi, facile ! Le cheval faisait tout ce que je voulais. Et après, quand il a fallu lui donner du rythme, je me suis dit : « Mais qui suis-je pour lui donner des ordres ? ». Et là, évidemment j’ai perdu la connexion, il s’est arrêté immédiatement.

J’ai revécu l’équicoaching en 2023, quand je suis intervenu pour filmer et prendre des photos pour Les Carnets d’Éveil et il s’est passé à nouveau des émotions et des révélations bienvenues.

Ensuite, je suis intervenu dans la formation Devenir équicoach pour les parties sans chevaux (coaching, intelligence émotionnelle et relationnelle) et il y avait beaucoup de ponts avec le cheval, mais je n’étais pas en maîtrise. J’ai donc suivi la formation moi-même et je suis maintenant équicoach certifié.

Comment l’équicoaching enrichit sa pratique de coach

Hervé parle pour les équicoachs de l’importance de la joie. C’est une clé qui est magnifique. Mais moi, c’est difficile de rentrer en joie directement. Ma clé d’entrée, c’est la gratitude. C’est d’être dans mon cœur rayonnant. Je remercie le cheval, ce que je vis, qui je suis.

Cette gratitude fait que je suis dans une connexion. J’ai un lien hyper fort avec le cheval, il me suit et je le sens, et à distance… Une fois que ce lien est là, avec ce lâcher-prise, vient la joie.

C’est ce que j’ai appris pendant cette formation : accepter comment je fonctionnais.

Autre changement grâce à cette formation, maintenant, je demande systématiquement un feedback après chaque séance de tout accompagnement. Nous le faisons en équicoaching, je l’ai transféré sur ma pratique de coach. »

20 ans d’amitié et de collaboration avec Les Carnets d’Éveil

C.S. : « Avec Hervé, nous nous sommes rencontrés il y a plus de 20 ans, quand nous avons fait la même école de coaching. C’était une rencontre très forte pour moi, avec des univers à la fois semblables, et un charisme qu’il avait sur quelque chose qui moi me parlait en développement perso, toute sa partie énergétique, même si je ne savais pas du tout ce que c’était. Il m’a apporté énormément là-dessus.

Cette école de coaching, c’était une longue formation, 13 mois, très intense. Et parce que nous étions très nombreux, nous étions plus de 60, forcément, l’humain est comme les chevaux, c’est un peu le côté grégaire, il y a des groupes qui se constituent.

Nous avions un groupe de 6-10 personnes avec lesquelles on se marrait tout le temps, et on faisait les exercices ensemble. Hervé était mon binôme.

Après, on a remis une couche supplémentaire avec une spécialisation en neurosciences motivationnelles. Pendant 4 mois, on n’était que tous les deux, Hervé et moi, en binôme, tous les jours, à faire des exercices au téléphone ensemble et en présentiel de temps en temps. C’était intense !

Du binôme de formation aux collaborations multiples

Dès 2009, Hervé m’a fait intervenir en teambuilding avec lui. C’est de l’événementiel à la Hervé, avec des techniques de coaching de groupe, de systémique. Je suis aussi animateur du jeu du Tao.

En 2013, Hervé avait tellement de choses à gérer avec ses coachings, ses cours, son école de coaching et tout. Il m’a demandé de reprendre les cours qu’il donnait dans l’école d’ingénieur où il a fait ses études. D’abord, la partie marketing de soi qui me parle beaucoup, être qui je suis, de l’introspection, ce qu’on appelle le « personal branding ». Et il y a plus de cinq ans, j’ai repris les cours sur la prise de parole en public.

Depuis 2 ans, j’interviens au sein des Carnets d’Éveil pour les formations en intelligence émotionnelle et relationnelle. À la même époque, Hervé m’a sollicité pour la formation des équicoachs comme formateur en fondamentaux de coaching. J’interviens sur la partie coaching sans cheval, en tant que formateur et je fais de la supervision pour les flashs coachings. »

Vivre avant d’apprendre : la spécificité des Carnets d’Éveil

C.S. : « L’ADN, la signature des Carnets d’Éveil que Hervé et Sylvie nous enseignent, et que je pratique avec lui depuis plus de 20 ans, c’est la fameuse pédagogie inversée. Lorsque nous partageons une posture, il y a le savoir-être, qui, pour nous, est primordial, et après, on acquiert du savoir-faire.

Peu importe ce que je vais vivre, l’expérience prime surtout, et je fais d’abord expérimenter avec très peu de consignes.

Par exemple, si on parle de l’équicoaching, je vais briefer la personne ou le groupe de personnes, avec très peu de consignes. La personne va vivre son expérience et au sortir de cette expérience, en confidentialité absolue, nous nous isolons du reste du groupe et à l’écart, la personne, dos au rond de longe, dos au groupe, peut se livrer, partager ce qu’elle a vécu, ressenti, si cela fait écho dans sa vie…

L’intelligence émotionnelle et relationnelle au cœur de la méthode

Dans plein d’écoles d’équicoaching, on laisse le registre émotionnel et relationnel de côté. La spécificité des Carnets d’Éveil, c’est l’accent mis de manière volontaire et très puissante, sur l’intelligence émotionnelle et relationnelle. Et ça, nous le vivons également en présentiel, sans cheval.

Sur les 14 jours de formation en présentiel pour devenir équicoach, il y en a 6 de pratiques avec les chevaux, ce qui est beaucoup : 3 en introspection de soi vers soi et 3 avec des clients « cobayes ».

Et les 8 journées qui restent, sans cheval, sont en présentiel : 6 jours d’intelligence émotionnelle et relationnelle et 2 jours de fondamentaux de coaching. Nous faisons vivre des choses et après on explique. Il faut rajouter tous les cours en plus en distanciel, notamment sur l’aspect coaching.

Parce que la vie, c’est ça : lorsque je rencontre quelqu’un, il n’y a pas marqué sur son front que ça va être l’homme ou la femme de cette vie qui va m’accompagner. Ou bien que la personne que je m’apprête à côtoyer plus ou moins intimement sera un pervers narcissique ou autre. Ce n’est pas marqué sur son front.

Pour autant, on pourrait dire : « Tiens, je peux écouter mon ressenti – ce qu’on ne fait pas forcément. Intuitivement –, ça ne sent pas très bon. » Et ces signes-là, on ne les écoute pas trop. La vie, c’est ça. On vit des choses, et après, on peut apprendre de ces expériences de vie, plus ou moins agréables ou confortables.

Le coaching, la maïeutique avant tout

Le coaching, pour nous, c’est que le coach ne propose jamais de solution. Il n’est pas conseiller, il n’est pas mentor.

Le coach va utiliser, et c’est notre technique, beaucoup de maïeutique, faire accoucher à travers des questions. Et à travers les questions, la personne va faire de l’introspection avec son propre monde, va répondre et on fait de la reformulation, on va tirer sur le fil et on rebondit.

C’est le principe, la déontologie essentielle. Le coach ne va jamais proposer quoi que ce soit, c’est la personne qui va se trouver ses propres solutions, souvent après avoir fait des prises de conscience.

Le flash coaching, une innovation pédagogique

La spécificité de la formation Devenir Équicoach des Carnets d’Éveil, c’est que les apprenants pour la partie coaching pratiquent en présentiel, et ont aussi trois flashs coachings par personne avec des clients cobayes pour pratiquer les techniques vues en cours, avec supervision.

Ces flashs coachings ont un format d’une heure maximum, c’est le coaching rapide. 10 minutes d’anamnèse, on vérifie la problématique, le sujet avec la personne. Puis 20-30 minutes, la technique à dérouler. Après, la personne coachée quitte l’appel. Et avec le ou la superviseur – c’est moi en ce moment –, on fait un feedback avec une auto-évaluation, puis mon retour sur la séance.

Aux Carnets d’Éveil, on a aussi la particularité, dans la partie coaching, d’avoir une journée de moi vers moi, en introspection, c’est-à-dire ma posture de coach. Et une journée, de moi vers l’autre, dans l’accompagnement avec beaucoup de pratiques, de la technique… »

« Ce que je propose aux autres, je le fais d’abord pour moi », confie Cyril. Sa quête de toute une vie l’a mené vers la découverte de soi, et vers l’accompagnement et la transmission. Vivre puis apprendre, comme dans la vie. Grâce à cette méthode des Carnets d’Éveil, l’équicoaching devient un art de vivre qui transforme autant l’accompagnant que l’accompagné.

Vous aussi, vous vous intéressez à l’accompagnement et à l’équicoaching ? La formation des Carnets d’Éveil vous attend pour découvrir comment les chevaux peuvent révéler le meilleur de vous-même et de ceux que vous accompagnerez. Découvrez notre formation Devenir équicoach !

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